Erin LaBarge

Global Lead, Volunteer Strategy and Employee Engagement

SAP

Lorsque nous avons imaginé l'idée d'une semaine de volontariat, nous nous sommes assurés que de demander, assez tôt dans le processus et régulièrement, l'avis des gens qui sont sur le terrain pour savoir si oui ou non c'était quelque chose dont ils avaient envie. Visuellement et dans la façon d'expliquer le projet, il faut s'assurer que c'est très clair et que tout le monde comprenne bien ce que c'est et ce que ce n'est pas. Il faut aussi remettre de l'autonomie dans le programme pour permettre à chacun de s'auto-motiver et de s'auto-diriger. Pour cela, il faut communiquer à un rythme élevé et de façon cohérente pour atteindre les différents groupes d'employés. Les gens avaient l'habitude d'entendre parler de nous grâce au travail effectué en partenariat avec le département des communications. Il faut aussi savoir être en accord avec les résultats, quels qu'ils soient. Et enfin, les employés doivent se porter volontaires. Il faut les inciter à participer sans mettre de pression et définir clairement les attentes avec vos équipes.

Daniel Gibbs

Climate Consultant, Enterprise and Climate Propositions

NatWest

Nous avons constaté que ce ne sont pas les connaissances qui empêchent les gens de parler du changement climatique et de la durabilité, mais la confiance. Les gens sont vraiment passionnés par ces questions, mais ils ne veulent pas avoir l'air idiot ou donner l'impression de feindre leur passion lorsqu'ils ne savent pas quelque chose. C'est pourquoi une grande partie de notre travail consiste aujourd'hui à renforcer la confiance en soi, et pas seulement les connaissances. Pour ce faire, nous avons créé un réseau informel où les gens peuvent apporter de nouvelles idées et obtenir des pistes d'amélioration avant de s'adresser à leurs supérieurs hiérarchiques ou à leurs patrons. Et cela a fait une très grande différence lorsqu'il s'agit d'avoir des conversations sur le changement climatique.

Juliette Sarrail

Head of Engagement & HR Communication

SCOR

Pour mettre sur pied un programme d'envergure internationale, il est essentiel de bénéficier du soutien de la haute direction et d'une structure permettant d'ancrer durablement les valeurs dans l'ADN de l'entreprise. Chez SCOR, nous avons mis en place un réseau d'ambassadeurs et de champions. Le rôle principal de l'ambassadeur, qui est désigné pour une région donnée (EMEA, APAC, Amériques), est d'encourager les employés à participer au programme. Viennent ensuite les champions, qui sont essentiels car ils pilotent le programme en recherchant des associations et en organisant des activités ou des événements bénévoles. Ensuite, nous utilisons notre plateforme RSE pour permettre à ce réseau de prendre en main son programme et de l'adapter aux besoins spécifiques de chaque bureau.

Francesca Tettamanzi

Learning & Development Lead

Frontiers

La nécessité d'une plateforme dédiée au bénévolat et aux dons est apparue naturellement en raison de l'intérêt des employés à s'engager pour des activités caritatives . Au fil des ans, de plus en plus d'employés ont contacté notre équipe RH pour demander de l'aide pour des collectes de fonds ou pour participer à des activités caritatives. Lorsque nous avons commencé à voir, sur une base mensuelle, tant d'initiatives spontanées organisées et de fonds collectés pour des causes caritatives, il est devenu nécessaire de lancer le programme Giving@Frontiers afin de fournir aux employés un outil leur permettant de centraliser leur engagement pour rendre le monde meilleur !